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Pour € 15
Remerciements sur le site
Sur le site de stopbalesdegoma.org nous avons crée un onglet pour relater le déroulement du procès. Les noms des collaborateurs et collaboratrices apparaîtront à cet endroit.
> 36 Cofinanceurs
Merci beaucoup
07 | 10 | 2013
Bonjour à toutes et à tous
La campagne de Goteo initiée afin de pouvoir porter la question des balles en caoutchouc à la Cour Européenne des Droits de l'Homme à Strasbourg est terminée. Elle fut un grand succès. Ce message vise à remercier tout le monde pour sa collaboration. Non seulement les personnes qui ont fait un don d'argent pour assurer les frais à venir dans cette nouvelle démarche juridique, mais aussi toute celles et ceux qui avez offert de votre temps pour aider l'association Stop Bales de Goma, traduisant des textes, recherchant de nouveaux cas de violences policières restées jusqu'ici sous silence, en somme, apportant votre soutien et vous faisant le relais de notre démarche. Merci de tout coeur. Avec votre aide nous sommes certains d'atteindre notre objectif final : interdire l'usage des balles en caoutchouc dans l'Etat espagnol comme premier pas menant à l'abolition de l'usage de ces armes partout ailleurs.
D'ici peu de temps nous nous mettrons en contact avec vous afin de vous faire parvenir les retours sur lesquels nous nous sommes engagés et nous vous informerons au fur et à mesure des nouvelles initiatives entreprises à l'association Stop Bales de Goma. Pour le moment, nous sommes dans l'attente des décisions, qui devraient tomber prochainement, du Parlement de Catalogne sur les méthodes de la police catalane dans la gestion des rassemblements de masse et sur sa politique répressive, mais nous pouvons vous dire d'ores et déjà que s'ils ne décident pas d'interdire ces armes, ou s'ils décident d'en autoriser d'autres tout aussi dangereuses, nous poursuivrons notre lutte en exprimant notre refus. Dans cette même optique, sachez que nous sommes en train de préparer une conférence sur les armes dites “sublétales” qui se tiendra courant janvier à Barcelone.
Merci beaucoup.
Carles Guillot
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